Le Cunay : 1570 m

00:55:00 • Lucas P • Commentaire publié le 08/09/2021

Départ depuis Berolle, 1km de plat, on tourne à droite et c'est parti !
D'abord quelques km sur une belle route bien large (avec circulation) et on quitte cette sur route en tournant sur la droite, place à une petite route en bon état mais granuleuse avec quelques cailloux.
Très peu de véhicules, route ombragée, communion avec la nature, attention cependant aux vaches ;)
Arrivée au sommet il vous faudra mettre le vélo sur l'épaule et grimpée un chemin en terre de 200m pour avoir une magnifique vue sur le Léman et les montagnes

00:00:00 • jf83akyra • Commentaire publié le 28/07/2024

Monté le 27/07/2024 après le Marchairuz.
2 km compliqué puis ensuite c'est roulant et très agréable
Ne pas chercher de panneau il y a que dalle lol. Le Col des combes se situe juste en dessous de la cabane du Cunay (panneau indicateur pour les randonneurs) au moment où la route redescend.

00:00:00 • Aidan J • Commentaire publié le 10/09/2018

Même début que le Marchairuz depuis Bière, mais ensuite il faut prendre à droite sur une petite route de foret. La vue n'est pas très dégagée mais l?ambiance de montagne parmi les vaches est sympathique.

00:00:00 • Pierre-joseph G • Commentaire publié le 18/09/2023

Cette montée au Cunay est répertoriée au club des Cent Cols sous le nom de col des Combes (1569 m). Les cinq kilomètres au-dessus de Bière sont communs au col de Marchairuz, sur une belle et large route qui fait un peu oublier la rude déclivité. Il faut ensuite prendre à droite une étroite route d'alpage sans panneau indicateur. Il reste dix kilomètres pour atteindre le terme de la route qui aboutit à une ferme à 1414 mètres. Le Cunay est un petit kilomètre auparavant, à l'altitude de 1570 mètres. La montée est agréable, en forêt dans un premier temps. Puis on trouve les pâturages typiques du Jura, sur de belles combes ensoleillées, avec ça-et-là une cabane de bergers. Parti de Gland sous un ciel gris et nuageux, j'ai eu le plaisir d'arriver là-haut avec les timides rayons d'un soleil printanier qui illuminait les prairies jaunes de pissenlits, heureux une fois encore de pouvoir parcourir ces hauteurs magnifiques.