Forcola di Livigno : 2315 m

00:26:00 • Gilles A • Commentaire publié le 30/07/2016

Beaucoup plus raide que depuis Livigno

00:00:00 • oran • Commentaire publié le 30/12/2017

la description est trompeuse, elle donne l'impression d'un col très court avec quelques raidars, c'est exactement le contraire ; la montée commence à San Carlo (un peu après Poschiavo) voire à la sortie de Tirano (c'est alors un col de 33.5 km !), elle est assez pentue (mais il y a un long passage sans pourcentage le long du barrage), cette partie est commune au passo Bernina consultable sur ce site ; les parties spécifiques à chacun des deux cols sont courtes (4 km dans les deux cas)
très beau col mais seulement à partir de San Carlo, avec peu de circulation ;
l'autre versant est sans intérêt sportif (la montée est en fait celle du Foscagno depuis Isolaccia, consultable sur ce site)

00:00:00 • albrix • Commentaire publié le 29/08/2017

Réalisé à la suite de Bernina et avant Eira et Foscagno. Pris un gros orage, qui m'a fait accélerer le rythme. Montée courte.

00:00:00 • Michel J • Commentaire publié le 18/07/2015

Court mais costaud! Réalisé au retour du Passo del Bernina.

00:00:00 • Cyrille S • Commentaire publié le 01/07/2018

C'est court mais ça monte bien.
Le panorama est superbe et offre une belle distraction. La descente sur Livigno est super rapide.

00:00:00 • Pierre-joseph G • Commentaire publié le 07/09/2023

Après avoir descendu un peu moins de 4 km sur le versant sud du passo del Bernina, on emprunte une petite route qui part sur la gauche en direction de la Forcola di Livigno, à la frontière italienne. On passe la douane de La Motta (présence de toilettes). La route serpente gentiment sur un kilomètre avant que ne se dresse devant nous une montée pour costauds. C'est pas compliqué : une longue rampe, deux épingles et la rampe finale. Tout ça dans un cadre champêtre magnifique, dominé par des pics acérés. Bref, la haute montagne dans toute sa splendeur comme je l'aime. Je me lance avec envie. Les sonnailles des troupeaux m'accompagnent tout du long. Arrivé au col, je souris en entendant les propos de cyclos aguerris qui se disent surpris par la rudesse de l'effort qu'ils ont dû fournir. Je ne les démentirai pas. J'ai failli oublier : au col, si on regarde d'où on vient, on découvre à nouveau les glaciers qu'on a pu voir depuis le passo del Bernina.

00:20:22 • Marc G • Commentaire publié le 01/11/2017

00:00:00 • Aidan J • Commentaire publié le 20/08/2018